Les ricains n'ont pas fini de nous énerver. Ben oui, quoi de plus sympathique que de détester un pur produit de l'oncle Sam ? Á part cracher à la face d'un journaliste de Canal +, je ne vois pas.
Et dans nos sphères punkoïdales, on a l'embarras du choix... mais que fait Dirty Punk ? Il s'arrange nous en dénicher des bons. Mais à l'heure de la mal bouffe, des crises financières à répétition, de l'impérialisme US sans concession, n'est-ce pas anti-français de ne pas flatter notre anti-américanisme primaire ? C'est dégueulasse. Comment, avec toute la mesquinerie qui me caractérise, tout le courage qui est le mien (celui d'un internaute planqué au chaud derrière son clavier) vais-je bien pouvoir dire du mal d'un groupe qui joue bien et se trouve être plaisant tout en étant purement et simplement dans la droite ligne du punk-rock américain ultra-typé et calibré ?
J'avoue que je me suis un peu creusé la tête.
Premier réflexe : celui de me crisper la feuille de chou face au gros son. Gonflé, travaillé et propre. Et si le biau capiau du chanteur ne nous évoquait pas celui de Tim Amstrong (qui n'est pas noir, mais blanc de peau) [chanteur] de Rancid, les sonorités de ce punk-rock bien foutu se charge de nous rappeler le lien de parenté (entre Rancid & The Scarred, et tant d'autres groupes qui marchent dans les pas des premiers...).
Second réflexe : se mettre les préjugés, ou les jugements hâtifs, dans le derrière et se laisser bercer par le flot (yo !).
Low Life ou Panic ! m'ont émoustillé les conduits de cheminée, à faire tourner en boucle la face B. Car même si je ne suis pas un aficionados de ce punk-rock un brin trop bien fait, il faut reconnaître quand les mélodies ou les morceaux sont bien construits et font mouche. Et qu'il ne se la joue pas autant que les références sus-cités.
Donc, et même si ça me coûte, j'arrête cinq minutes de faire du mauvais esprit : tout cela est pas mal du tout ; les amateurs de gros-gros rock'n roll, de bon street, avec chœurs, puissance et tout le toutim, trouveront ici leur pesant de beurre de cacahuètes.
C'est donc très logiquement que la parturition provient de Dirty Punk Records sous la forme d'un beau vinyle rouge transparent version européenne du troisième album des dits lascars sorti en cd en 2009.
Et dans nos sphères punkoïdales, on a l'embarras du choix... mais que fait Dirty Punk ? Il s'arrange nous en dénicher des bons. Mais à l'heure de la mal bouffe, des crises financières à répétition, de l'impérialisme US sans concession, n'est-ce pas anti-français de ne pas flatter notre anti-américanisme primaire ? C'est dégueulasse. Comment, avec toute la mesquinerie qui me caractérise, tout le courage qui est le mien (celui d'un internaute planqué au chaud derrière son clavier) vais-je bien pouvoir dire du mal d'un groupe qui joue bien et se trouve être plaisant tout en étant purement et simplement dans la droite ligne du punk-rock américain ultra-typé et calibré ?
J'avoue que je me suis un peu creusé la tête.
Premier réflexe : celui de me crisper la feuille de chou face au gros son. Gonflé, travaillé et propre. Et si le biau capiau du chanteur ne nous évoquait pas celui de Tim Amstrong (qui n'est pas noir, mais blanc de peau) [chanteur] de Rancid, les sonorités de ce punk-rock bien foutu se charge de nous rappeler le lien de parenté (entre Rancid & The Scarred, et tant d'autres groupes qui marchent dans les pas des premiers...).
Second réflexe : se mettre les préjugés, ou les jugements hâtifs, dans le derrière et se laisser bercer par le flot (yo !).
Low Life ou Panic ! m'ont émoustillé les conduits de cheminée, à faire tourner en boucle la face B. Car même si je ne suis pas un aficionados de ce punk-rock un brin trop bien fait, il faut reconnaître quand les mélodies ou les morceaux sont bien construits et font mouche. Et qu'il ne se la joue pas autant que les références sus-cités.
Donc, et même si ça me coûte, j'arrête cinq minutes de faire du mauvais esprit : tout cela est pas mal du tout ; les amateurs de gros-gros rock'n roll, de bon street, avec chœurs, puissance et tout le toutim, trouveront ici leur pesant de beurre de cacahuètes.
C'est donc très logiquement que la parturition provient de Dirty Punk Records sous la forme d'un beau vinyle rouge transparent version européenne du troisième album des dits lascars sorti en cd en 2009.
En écoute, un bon exemple de ce que sont capables ces gins (Low Life) | |
Site web : The Scarred Label : Dirty Punk Records | |